Este Blog foi um programa de rádio The Steadfast Tin Soldier: dezembro 2008

sábado, dezembro 27, 2008

 

Cuidado com os ritornelli... Eles andem aí!

"Mas o mais perigoso é o ritornello,
Salta-te para a orelha como um grilo,
Zumbe-te na cabeça até dizeres 'chega'
Mas depois volta e não te larga mais.

Mas o mais perigoso é o ritornello,
Cantas e voltas a cantar, sempre o mesmo.
Esvoaça-te na tola até que digas 'stop'.
Não serve para nada, volta a ir-se embora pouco depois."


quarta-feira, dezembro 24, 2008

 

Sénta Clóz iz câmingue tu táun...


domingo, dezembro 14, 2008

 

De presidente a sapateiro

Aproximando-se o final da sua estadia em pensão completa na Casa Branca, George W. Bush tem agora de procurar um novo emprego com que se governar. Consta que optou pela indústria do calçado e recebeu hoje, em mão, a primeira entrega.
Fora de brincadeiras, o ainda presidente dos EUA foi hoje, durante uma conferência de imprensa em Baghdad, alvo de um jornalista iraquiano que, descontente com a presença de Bush, decidiu atirar-lhe primeiro com um e depois com o outro sapato ao mesmo tempo que gritava algo como "Este é o beijo de despedida, seu cão!".
Convém lembrar que, para os povos de cultura árabe, atirar um sapato é considerado um gesto extremamente insultuoso, já que a sola dos sapatos é vista como uma zona extremamente imunda por estar constantemente em contacto com o chão. Assim, mostrar a sola do sapato já é, por si, uma enorme falta de respeito. Para os que visitarem um país árabe, já sabem: atenção ao cruzar as pernas...


@ Yahoo! Video

sexta-feira, dezembro 12, 2008

 

Hehehe


quinta-feira, dezembro 11, 2008

 

Viva a classe!

E viva a classe! É que não podia ser mais chique! Chiquérrimo, aliás! Chelas e Barreiro, duas villas tão bem frequentadas por aqueles queridos... Uns verdadeiros gentlemen, os excelsos cavalheiros que por lá habitam, tratam dos seus negócios na bolsa e jogam golf...
E agora a pergunta que se impõe: porque raio sou eu a Ponte Chelas-Barreiro só porque ia para a porta da Embaixada da Grécia gritar "TEMOS PENA!" se tivessemos ganho o Euro2008???
P.S. - Anda um vírus de insanidade mental à solta. Agasalhem-se e fujam dos frangos com camuflados e óculos escuros, se os encontrarem...

domingo, dezembro 07, 2008

 

O Silogismo do Tubérculo Perene, ossia A Lógica da Batata

Lógica da bifana, lógica da batata (que, quer-me parecer, é a versão vegetariana da anterior), lugar-comum, verdade de La Palice, lapaliçada, etc... Todas estas designações se referem a algo que é uma proposição verdadeira - e óbvia. "Lógica da batata" será, possivelmente, a expressão mais comum, seguida de "verdade de La Palice" - que se refere ao senhor de La Palice...
A razão pela qual uma pequena operação de lógica elementar constituída por proposições verdadeiras se foi aliar a um tubérculo peruano para dar origem à expressão "lógica da batata" continua, para mim, um mistério - mas, sendo 2008 o
Ano Internacional da Batata, não podia deixar de escrever um post sobe isto antes que acabasse o ano...
Quanto à "verdade de La Palice"... É outra história! Existiu, de facto, um senhor chamado La Palice (existem duas ortografias correctas: La Palice e La Palisse). Não era filósofo, nem matemático, nem nenhuma figura de destaque ligada à lógica. Na verdade o seu nome era Jacques II de Chabannes, senhor de La Palice. Era um nobre francês, militar, Maréchal de France, que morreu a 24 de Fevereiro de 1525 ao serviço de François I, na batalha de Pavia. O mérito da expressão "verdade de La Palice" não é seu mas sim de uma combinação do acaso: os seus soldados escreveram uma canção para homenagear a sua coragem onde se lia

Hélas, La Palice est mort,
Est mort devant Pavie;
Hélas, s’il n’était pas mort,
Il ferait encore envie.

Tradução:
Enfim, La Palice está morto,
Está morto diante de Pavia;
Enfim, se não estivesse morto,
Ainda causaria inveja.[dizendo respeito à forma destemida como se batia em combate]

No entanto, na antiga grafia francesa, devido à uniformização da escrita introduzida por Carlos Magno (a escrita com as minúsculas carolíngeas), o s minúsculo escrevia-se como ſ , que se assemelha bastante a um f. Somando a isso a separação da palavra "envie" nas duas palavras "en vie", resulta daí um erro de leitura: em vez de "Il ferait encore envie", alguém leu "Il serait encore en vie". O que, traduzindo, dá a seguinte quadra:

Enfim, La Palice está morto,
Está morto diante de Pavia;
Enfim, se não estivesse morto,
Ainda estaria vivo.

Esta é a autêntica e genuína "verdade de La Palice"...
Desta combinação surgiu uma canção jocosa escrita por Bernard de La Monnoye, "La Chanson de La Palisse", canção essa cheia de verdades de La Palice. Aqui fica a canção original em francês, extraída directamente da
Wikipedia:

Messieurs, vous plaît-il d’ouïr
L’air du fameux La Palisse ?
Il pourra vous réjouir
Pourvu qu’il vous divertisse.

La Palisse eut peu de bien
Pour soutenir sa naissance,
Mais il ne manqua de rien
Dès qu’il fut dans l’abondance.

Bien instruit dès le berceau,
Jamais, tant il fut honnête,
Il ne mettait son chapeau,
Qu’il ne se couvrît la tête.

Il était affable et doux,
De l’humeur de feu son père,
Et n’entrait guère en courroux
Si ce n’est dans la colère.

Il buvait tous les matins,
Un doigt, tiré de la tonne,
Et mangeant chez ses voisins,
Il s’y trouvait en personne.

Il voulait dans ses repas
Des mets exquis et fort tendres,
Et faisait son Mardi Gras,
Toujours la veille des Cendres.

Ses valets étaient soigneux
De le servir d’andouillettes,
Et n’oubliaient pas les œufs,
Surtout dans les omelettes.

De l’inventeur du raisin,
Il révérait la mémoire ;
Et pour bien goûter le vin
Jugeait qu’il en fallait boire.

Il disait que le nouveau
Avait pour lui plus d’amorce ;
Et moins il y mettait d’eau
Plus il y trouvait de force.

Il consultait rarement
Hippocrate et sa doctrine,
Et se purgeait seulement
Lorsqu’il prenait médecine.

Il aimait à prendre l’air
Quand la saison était bonne ;
Et n’attendait pas l’hiver
Pour vendanger en automne.

Il épousa, se dit-on,
Une vertueuse dame ;
S’il avait vécu garçon,
Il n’aurait pas eu de femme.

Il en fut toujours chéri,
Elle n’était point jalouse ;
Sitôt qu’il fut son mari,
Elle devint son épouse.

D’un air galant et badin
Il courtisait sa Caliste,
Sans jamais être chagrin,
Qu’au moment qu’il était triste.

Il passa près de huit ans,
Avec elle, fort à l’aise ;
Il eut jusqu’à huit enfants :
C’était la moitié de seize.

On dit que, dans ses amours,
Il fut caressé des belles,
Qui le suivirent toujours,
Tant qu’il marcha devant elles.

Il brillait comme un soleil ;
Sa chevelure était blonde :
Il n’eût pas eu son pareil,
S’il avait été seul au monde.

Il eut des talents divers,
Même on assure une chose :
Quand il écrivait des vers,
Qu’il n’écrivait pas en prose.

Au piquet, par tout pays,
Il jouait suivant sa pente,
Et comptait quatre-vingt dix,
Lorsqu’il faisait un nonante.

Il savait les autres jeux,
Qu’on joue à l’académie,
Et n’était pas malheureux,
Tant qu’il gagnait la partie.

En matière de rébus,
Il n’avait pas son semblable :
S’il eût fait des impromptus,
Il en eût été capable.

Il savait un triolet,
Bien mieux que sa patenôtre :
Quand il chantait un couplet,
Il n’en chantait pas un autre.

Il expliqua doctement
La physique et la morale :
Il soutint qu’une jument
Est toujours une cavale.

Par un discours sérieux,
Il prouva que la berlue
Et les autres maux des yeux
Sont contraires à la vue.

Chacun alors applaudit
A sa science inouïe :
Tout homme qui l’entendit
N’avait pas perdu l’ouïe.

Il prétendit, en un mois,
Lire toute l’Écriture,
Et l’aurait lue une fois,
S’il en eût fait la lecture.

Il fut à la vérité,
Un danseur assez vulgaire ;
Mais il n’eût pas mal chanté,
S’il avait voulu se taire.

Il eut la goutte à Paris,
Longtemps cloué sur sa couche,
En y poussant des hauts cris,
Il ouvrait bien fort la bouche.

Par son esprit et son air
Il s’acquit le don de plaire ;
Le Roi l’eût fait Duc et Pair,
S’il avait voulu le faire.

Mieux que tout autre il savait
À la cour jouer son rôle :
Et jamais lorsqu’il buvait
Ne disait une parole.

On s’étonne, sans raison,
D’une chose très commune ;
C’est qu’il vendit sa maison :
Il fallait qu’il en eût une.

Il choisissait prudemment
De deux choses la meilleure ;
Et répétait fréquemment
Ce qu’il disait à tout heure.

Lorqu’en sa maison des champs
Il vivait libre et tranquille,
On aurait perdu son temps
À le chercher à la ville.

Un jour il fut assigné
Devant son juge ordinaire ;
S’il eût été condamné,
Il eût perdu son affaire.

Il voyageait volontiers,
Courant par tout le royaume ;
Quand il était à Poitiers,
Il n’était pas à Vendôme.

Il se plaisait en bateau ;
Et soit en paix, soit en guerre,
Il allait toujours par eau,
À moins qu’il n’allât par terre.

On raconte, que jamais
Il ne pouvait se résoudre
À charger ses pistolets,
Quand il n’avait pas de poudre.

On ne le vit jamais las,
Ni sujet à la paresse :
Tant qu’il ne dormait pas,
On tient qu’il veillait sans cesse.

Un beau jour, s’étant fourré
Dans un profond marécage,
Il y serait demeuré,
S’il n’eût pas trouvé passage.

Il fuyait assez l’excès ;
Mais dans les cas d’importance,
Quand il se mettait en frais,
Il se mettait en dépense.

C’était un homme de cœur,
Insatiable de gloire ;
Lorsqu’il était le vainqueur,
Il remportait la victoire.

Les places qu’il attaquait,
À peine osaient se défendre ;
Et jamais il ne manquait
Celles qu’on lui voyait prendre.

Dans un superbe tournoi,
Prêt à fournir sa carrière,
Il parut devant le Roi :
Il n’était donc pas derrière.

Monté sur un cheval noir,
Les dames le reconnurent ;
Et c’est là qu’il se fit voir
À tous ceux qui l’aperçurent.

Mais bien qu’il fût vigoureux,
Bien qu’il fût le diable à quatre,
Il ne renversa que ceux
Qu’il eut l’adresse d’abattre.

Un devin, pour deux testons,
Lui dit, d’une voix hardie,
Qu’il mourrait delà des monts
S’il mourait en Lombardie.

Il y mourut, ce héros,
Personne aujourd’hui n’en doute ;
Sitôt qu’il eut les yeux clos,
Aussitôt il n’y vit goutte.

Il fut, par un triste sort,
Blessé d’une main cruelle.
On croit, puisqu’il en est mort,
Que la plaie était mortelle.

Regretté de ses soldats,
Il mourut digne d’envie ;
Et le jour de son trépas
Fut le dernier jour de sa vie.

Il mourut le vendredi,
Le dernier jour de son âge ;
S’il fût mort le samedi,
Il eût vécu davantage.

J’ai lu dans les vieux écrits
Qui contiennent son histoire,
Qu’il irait en Paradis,
S’il était en Purgatoire.


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